EXPOSITION

Aleppo mon amour

Katharine Cooper
photographe


Adolescente avec hijab bleu, al-Sukkari, Alep, mai 2017 © Katharine Cooper

8 NOV – 2 DEC 2018

Vernissage jeudi 8 novembre à 18h
Exposition organisée en partenariat avec la galerie Rêve d’ailleurs et SOS Chrétiens d’Orient

salle d’exposition de l’ENSASE
Entrée libre

Katharine Cooper photographe sud-africaine installée à Arles.

Originaire de Grahamstown (au cap est de l’Afrique du Sud), Katharine Cooper, née en 1978, quitte son pays natal à l’âge de huit ans pour s’installer au Zimbabwe. Elle est scolarisée chez les Sœurs Dominicaines à Harare, avant de quitter l’Afrique en 1999 pour le Royaume-Uni, où elle poursuit ses études en photographie. Elle s’installe en France en 2001 et intègre l’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles dont elle est diplômée en 2004, avec les félicitations du jury. Pendant la décennie suivante, Katharine Cooper fait partie de l’équipe de Lucien Clergue, tirant les négatifs du célèbre photographe académicien jusqu’à sa mort fin 2014.  Elle collabore à l’exposition rétrospective du photographe au Grand Palais en novembre 2015. Cooper expose dans les plus prestigieuses galeries européennes (Flatland Gallery d’Amsterdam, Art Brussels, Grand Palais, Institut de France, Hôtel des Invalides à Paris…  Elle encadre régulièrement des stages photographiques à Arles et dans les Cévennes. Ses œuvres font partie de diverses collections privées internationales.  Katharine Cooper vit et travaille à Arles dont les paysages de la Camargue, ainsi que son vent Mistral lui rappellent sa terre natale.

En 2012 Katharine Cooper est lauréate du Prix Photo de l’Académie des beaux-arts pour sa série qui s’intitule « Les Blancs Africains », qui a été exposée en 2013 à l’Académie des beaux-arts de Paris.

En 2015 commence une nouvelle aventure pour elle au Proche Orient avec une série de portraits des minorités chrétiens et yezidis en Iraq.  Elle fait, à cette occasion, une série sur les femmes combattantes kurdes.  Elle fait partie des premiers journalistes sur le site antique de Palmyre, quelques jours après sa libération, fin mars 2016.

Katharine est représentée par Flatland Gallery, Amsterdam.